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Edito


L'économie circulaire, un nouveau modèle économique pour La Réunion?

Dans le cadre de La loi NOTRe et de la loi de transition énergétique pour la croissance verte, de nouveaux défis pour La Réunion s’annoncent autour de la gestion de nos ressources naturelles.

 

Comme toutes les régions de France, la Région Réunion se voit confier la compétence en matière de planification et gestion des déchets. Ce cadre est une réelle occasion lui permettant de lancer un nouveau modèle de développement du territoire allant d’une économie linéaire « produire, consommer, jeter » vers une économie circulaire « de la conception des produits à leur recyclage ».

 

Ce modèle plus vertueux pour notre île, nous amène à repenser notre rapport à la gestion de nos ressources, nos modes de consommation et de production. Économiser les ressources par le tri, le réemploi, la réparation, la réutilisation ou la valorisation des déchets et lutter contre le gaspillage, sont quelques ambitions vers lesquelles l’économie circulaire tend.

 

Mais le réel défi, auquel répond ce nouveau modèle est : comment « réapprendre à vivre » avec les atouts de notre territoire pour réduire les impacts du changement climatique.

 

C’est dans ce sens, que la Région Réunion accompagne des partenaires tels que Qualitropic dans le domaine de l’innovation. C’est en incitant, en 2017, des projets de recherche et de développement, des appels à manifestation d’intérêt sur la thématique de la valorisation de la biomasse locale en fertilisation organique, ou l’appel à projet industrie et agriculture éco-efficiente ou enfin, son accompagnement aux entreprises pour répondre au dispositif ORPLAST de l’ADEME, pour l’utilisation de matières plastiques recyclées, que Qualitropic amène progressivement les entreprises réunionnaises vers un modèle d’économie circulaire respectueux de notre exceptionnelle biodiversité.

 

 

Nathalie NOËL

Conseillère régionale déléguée à l’économie circulaire et déchets

Administratrice de Qualitropic

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Focus


Entretien avec Olivia CASIMIR, Gérante de La Savonnerie de Bourbon

 

Pouvez-vous nous présenter votre activité ?

La Savonnerie de Bourbon est une petite entreprise familiale 100% réunionnaise. Basée à Saint-Benoit, nous sommes l’unique unité semi-industrielle de fabrication de savons de l’île. Toute jeune entreprise nous avons démarré la commercialisation de nos produits en juin 2017. Nous fabriquons à ce jour des savons solides d’hygiène corporelle à destination de la grande distribution et de l’hôtellerie.

 

 

Nos objectifs :

  • Valoriser le savoir-faire réunionnais
  • Proposer à nos clients et consommateurs une alternative aux savons importés
  • Proposer aux consommateurs un savon à leur image

 

Comment s’est fait le développement des marques locales ? 

Nous avons développé nos marques suivant 3 axes :

 

  • Une véritable volonté de proposer aux réunionnais la possibilité de consommer des produits fabriqués près de chez eux et qui leur ressemblent :
    Conçue et développée spécifiquement pour répondre aux attentes des consommateurs réunionnais et touristes en recherche d’authenticité, la Savonnerie de Bourbon propose à ses clients des savons solides aux notes olfactives de fruits cultivés sur notre île. Des senteurs peï qui font parties intégrantes de la culture Réunionnaise et attise chaque jour notre gourmandise et à travers desquels chaque touriste pourra voyager au cœur de notre île. Nous avons eu à cœur de proposer à nos clients des tarifs abordables par tous les portefeuilles.

 

  • Des marques symboliquement fortes :
    Pour cela, nous avons travaillé avec une petite agence de communication réunionnaise afin de créer nos marques : tiGalé, Héva et Douceur Créole. Nos marques ont été conçues pour refléter leurs origines 100% réunionnaises. Leurs noms évocateurs rappellent tous un élément de l’héritage culturel de l’île de la Réunion. Leurs images ont été élaborées avec soin afin d’incarner la Réunion d’aujourd’hui dynamique et d’une beauté naturelle sans artifice.

 

  • Des produits de qualité :
    Nos savons sont constitués d’une base de savons purs issus d’huiles végétales. Véritable promesse de bien-être ils procurent une agréable sensation de douceur sur la peau accompagnée d’une excellente action lavante.

 

Comment vous différenciez-vous des productions artisanales ?

Il y a deux éléments fondamentaux qui nous différencient des productions artisanales :

 

  • La Recherche et Développement :
    La Savonnerie de Bourbon met au service de ses clients un savoir-faire reposant sur un réseau d’experts. Nous travaillons en collaboration avec des spécialistes du monde de la cosmétique et de la réglementation afin de proposer des produits qui répondent aux normes françaises et européennes. L’objectif étant de garantir la qualité de nos produits et la sécurité des utilisateurs.

 

  • Notre capacité de production :
    Plus de 7000 savons en 2 jours. Cette capacité de production nous permet de pouvoir répondre à des marchés bien plus importants tels que la grande distribution et l’hôtellerie, ce qui n’est pas forcément le cas des productions artisanales qui, sur ce point, sont rapidement limitées.

 

Quelles sont vos perspectives pour l’avenir ?

Nous souhaitons mettre en place la fabrication à façon. Ainsi nous aspirons à nous positionner sur de nouveaux secteurs en tant que fabricant et non fabricant et distributeurs. La fabrication à façon consiste à proposer à nos futurs clients le développement d’un nouveau produit qu’il soit cosmétique, détergent ou tout autre savon au sens large du terme (exemple : fabrication de détergent pour un prestataire de service qui souhaite avoir ses propres détergents, sous sa propre marque et fabriqué à La Réunion). Actuellement en possession d’une ligne de fabrication de savon solide et d’une ligne de fabrication de savon liquide nous accompagnerons nos clients dans la conception, le développement, la mise en conformité et la fabrication de leurs produits. Nous sommes en mesure de nous adapter à leurs idées et cahiers des charges afin de leur fournir un produit sur-mesure, correspondant à leurs attentes et exigences.

 

Comment relevez-vous ce défi en tant que jeune femme entrepreneure ?

Diplômée ingénieure en 2015, je suis la gérante de la Savonnerie de Bourbon ainsi que celle qui a mis le projet sur pied. En tant qu’ingénieure Chargée d’Affaires et ayant fait mes études par apprentissage dans un grand groupe, la gestion d’une affaire n’était donc pas quelque chose de totalement nouveau et inconnue pour moi. Fille d’entrepreneur et forte de mon expérience d’assistante Chargé d’Affaires me lancer dans l’aventure a été une évidence. Bien sûr cela n’a pas été sans difficultés.

 

En plus de toutes les difficultés liées à la création d’entreprise, la recherche de financement, la recherche et développement et la mise en place de la production, mon principal défi a été et est de prouver qu’une jeune femme entrepreneure est capable de mettre sur pied un projet de cette dimension « comme un homme », que le manque d’expérience peut être compensé par un réseau « d’anciens » (Je m’appuie beaucoup sur l’expérience de mon père qui est chef d’entreprise depuis plus de 30 ans ) et que la jeunesse à d’autres atouts : des idées nouvelles, de l’énergie, de la détermination etc… .

 

Entre la fin 2015 et 2017 j’ai été diplômé ingénieure, j’ai monté ma boite, j’ai eu un enfant, je me suis mariée. Je peux dire que si j’y arrive c’est parce que je suis accro aux challenges et que j’ai un mari formidable et très présent. Mon équilibre je l’ai trouvé par l’organisation, un réseau professionnel sur lequel je peux facilement m’appuyer ainsi qu’un entourage personnel très présent. Je ne peux pas tout faire toute seule je délègue donc beaucoup et je n’hésite pas à demander de l’aide lorsque que j’en ai besoin.

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Actualités

14/12/2017   La vie du pôle
Conférence internationale BioHealF - Du 14 au 16 décembre 2017 - Université de la Réunion Saint Denis

Du 14 au 16 décembre derniers, s’est tenue la conférence scientifique internationale BioHealF 2017 avec pour objectif de réunir étudiants, techniciens, ingénieurs, monde médical, chercheurs, enseignants-chercheurs et entrepreneurs sur la thématique « Biodiversité - Santé – Aliments ».

 

Au cours des sessions plénières, ont été abordés les travaux de recherche et innovation actuellement en cours et ceux à mener. Les ateliers avaient pour objectif de faire le bilan des fiches actions S3, d’identifier et d’exprimer les futurs besoins tout en constituant de nouveaux partenariats pour des réponses aux appels à projets d’envergure.

 

Parmi les ateliers organisés, deux ont été proposés en collaboration avec Qualitropic :

 

1. Atelier autour de la « Valorisation économique de composés naturels », qui a réuni des entreprises de La Réunion, de la zone Océan Indien et de la France métropolitaine.

Après une brève introduction pour rappeler le contexte, les enjeux et les attentes de cet atelier, trois entreprises réunionnaises (REUNION ECOEX, PAT ZERBAZ, BIOALGOSTRAL) aux activités prometteuses ont pitché pendant 3/4 minutes.

S’en sont suivi des témoignages de success stories d’entreprises dans le domaine végétal et le domaine marin (PLANT ADVANCED TECHNOLOGIES, CORALBIOME, GROUPE JCR).

Enfin des échanges sous forme de groupes de travail ont eu lieu autour de thématiques telles que les plantes médicinales, aromatiques et à parfums ; les matières d’origine marine ; les fruits et légumes tropicaux et les autres ressources de la biodiversité (d’origine microbienne, fongique, …) afin d’identifier les actions à mener afin de conduire à davantage d’actions de valorisation des principes actifs issus de la biodiversité de La Réunion.

 

2. Atelier autour de l'« Environnement règlementaire des produits de santé (médicaments, dispositifs médicaux, compléments alimentaires, produits cosmétiques) » qui a permis d’apporter des éléments de réponses réglementaires à des porteurs de projets locaux.

 

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12/12/2017   La vie du pôle
CPR RITA Horticole - 12 Décembre 2017

Le 12ème comité de pilotage régional (CPR) du Réseau d’Innovation et de Transfert Agricole (RITA) pour les filières horticoles s’est tenu à l’Armeflhor le 12 Décembre dernier. 

 

Lors de ce comité a été annoncé le renouvellement des membres du comité ODEADOM (nouveau président : Mr Louis-Daniel BERTOME), et des représentants locaux des comités sectoriels (animal, canne, et diversification végétale).

 

Les présentations et échanges qui ont suivi ont notamment permis de faire un point sur les problématiques sanitaires rencontrées par les professionnels en rappelant les situations et connaissances actuelles et en proposant des pistes d’actions et des perspectives au sujet de plusieurs ravageurs : 

- la Bactrocera Dorsales - 9ème mouche des fruits, 

- la Drosophila Suzukii - accro aux fraises, 

- L’association Wilt/cochenilles – fléau de l’ananas

- Le greening des agrumes (HLB) - infection d'une filière

Ces sujets non exhaustifs relatifs aux problématiques locales rappellent l’importance de la surveillance, du suivi, de la mobilisation et de la réactivité des acteurs afin de maintenir des filières pérennes.

 

Enfin, ont été présentés : les nouvelles orientations 2018 du réseau de référence végétale, le projet interfilière/interdom : SOLAGRIDOM et la nouvelle délégation Océan Indien de l’Acta.

 

Les différents acteurs du RITA horticole seront prochainement consultés afin d’optimiser le fonctionnement du réseau. 

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07/12/2017   La vie du pôle
Atelier sur les insectes : quelles perspectives pour l'alimentation humaine ? 7 décembre 2017 - Saint Paul

Bien présents dans le patrimoine alimentaire réunionnais grâce à nos guêpes ou nos zandettes, les insectes suscitent un intérêt croissant depuis quelques années, en étant notamment perçus comme filière d’avenir pour notre alimentation. 

 

Les prévisionnistes s’accordent à dire que la population mondiale dépassera les 9 milliards d’Hommes en 2050. Cette augmentation soulève entre autres des questions évidentes de gestion, valorisation, répartition et conservation de nos ressources et de nos déchets. Les insectes seraient une des réponses possibles à apporter comme « ressource du futur  (pas si lointain!)», bien que beaucoup d’interrogations subsistent encore à ce jour à propos de ces petits êtres vivants que nous ne connaissons encore que trop peu!

 

Qualitropic, qui suit de près cette thématique, à tenté d’apporter son éclairage lors d’un atelier organisé en partenariat avec le pôle de compétitivité Aquimer et Guyane Développement Innovation le 07 Décembre 2017, à l’Usine By CBo de Savanna. Dans la continuité d’un précédent atelier sur le sujet qui avait eu un vif succès en Novembre 2016, novices et professionnels de différents secteurs intéressés par la thématique ont pu échanger en visioconférence avec des interlocuteurs de plusieurs territoires en Métropole, en Guyane, et bien sûr à La Réunion.

 

Lors des échanges et des présentations, le potentiel représenté par les insectes a pu de nouveau être reconnu, et un état des lieux de leur utilisation en alimentation humaine a notamment pu être dressé. Un panorama des aspects règlementaires (cadre environnemental, état des lieux de la réglementation, enjeux sociétaux, sanitaires et de sécurité alimentaire, freins, etc…) et des évolutions possibles a été au cœur de cet atelier où des experts du domaine et des représentants des pouvoirs publics étaient présents. Des initiatives et retours d’expériences d’entreprises qui se sont lancées ou projettent de le faire, ont permis de rappeler les vastes opportunités qu’offrent les insectes pour des applications en alimentation humaine et animale (mais également sur de nombreux autres secteurs d’activité). Les DOM TOM, de part leur biodiversité spécifique et leur rapport ancestral et plus ouvert face aux insectes, seraient d’excellents territoires d’exploration et d’expérimentations, pour la filière qui devra les aider à lever certains verrous identifiés lors de cet atelier. 

 

Perspectives de filière : La nouvelle version du règlement européen sur les Novel Food qui s’appliquera à partir du 1er Janvier 2018, devrait entraîner la simplification des démarches d’autorisations qui permettront à termes que certains insectes soient enfin autorisés en alimentation humaine de façon officielle et uniformisée dans tous les pays d’Europe. Une avancée non négligeable, fruit du travail des pouvoirs publics, des chercheurs et des industriels de la filière, qui ne peut qu’être saluée! Cependant, les défis à relever restent nombreux (réglementaires, sanitaires, techniques, d’accessibilité, d’acceptation, de sécurité et bien d’autres) et les possibilités de travail sur ce sujet brûlant sont encore très vastes pour pouvoir faire valoir les critères de quantité, de qualité, de durabilité et de responsabilité sociale revendiqués par cette filière en plein essor.

 

Pour plus d’information sur la thématique de la bioconversion et des insectes : florence.peiffer@qualitropic.fr / 0262 97 10 88

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06/12/2017   La vie du pôle
Waste Meetings 2017 : recyclage, traitement et valorisation des déchets

Cette année, Qualitropic a accompagné un groupe d’adhérents à la 3ème édition du Waste Meetings, qui a eu lieu les 6 et 7 décembre 2017 à Lyon.

 

Lors de ce salon, les adhérents ont eu la possibilité d’échanger via des rendez-vous d’affaire en B to B avec des experts internationaux spécialisés dans le traitement, le recyclage et la valorisation des déchets de tout type (organique, industriel, urbain, etc). En plus de ces rendez-vous, les participants ont pu s’inscrire à des conférences sur la valorisation des déchets et sur le recyclage. Qualitropic a notamment animé une conférence sur les enjeux de la valorisation des déchets organiques à La Réunion, un moyen de faire rayonner le pôle, ses adhérents et La Réunion à l’échelle nationale !  

 

 

 

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05/12/2017   La vie du pôle
CPR RITA Canne - 5 Décembre 2017

Le sixième comité de pilotage régional (CPR) du Réseau d’Innovation et de Transfert Agricole (RITA) pour la filière canne s’est tenu le 05 Décembre dernier, au centre de recherche Ercane. 

 

A l’issu d’une année riche en événements pour la filière canne-sucre-rhum, ce comité a permis de faire un point sur les thématiques prioritaires que sont la lutte contre les ravageurs et l’enherbement, la fertilisation ou encore l’irrigation.

 

  • 2017 a notamment été une année critique pour la Réunion avec l’apparition de 3 ravageurs importants, dont le Sipha Flava qui sévit depuis le mois d’Octobre sur le territoire. Entrainant rougissement et dessèchement des espèces de graminées auquel il s’attaque, ce puceron jaune pourrait impacter les rendements et est identifié comme vecteur d’un virus végétal pour lequel des interrogations restent présentes sur l’existence de souches  dans notre île. Une alerte à la vigilance est donc lancée et un atelier d'étude et de reconnaissance sera organisé prochainement. 
     
  • Des informations quant à la réglementation liée à l’usage des raticides qui ne possèdent plus d’autorisation de mise sur le marché en tant que produit phytosanitaire depuis 2011  ont été données. Au regard du risque sanitaire majeur et de l’impact des ravageurs sur les productions agricoles de la Réunion, des démarches et réflexions sont en cours pour apporter une solution adaptée, permettant de palier à la situation actuelle mais non règlementaire de l’utilisation de ces produits en plein champs (seule est autorisé l’utilisation aux abords des bâtiments – AMM Biocide). 
     
  • L’enherbement constituant un sujet d’intérêt pour la filière, il a été évoqué l’arrêt de l’utilisation d’agents de désherbage et la nécessité d’organiser la lutte contre ce phénomène. Cela a notamment permis de faire une présentation des résultats du projet ECOCANNE, porté par le CIRAD portant sur la gestion agroécologique des mauvaise herbes de la canne à sucre mais également du foreur des tiges. Le comité a aussi été l’occasion de faire remonter des exemples d’actions de terrain concrètes avec le témoignages d’un technicien et l’ouverture de réflexions sur les paillis et la maitrise de l’enherbement. 
     
  • Une présentation de deux outils simples et complet d’aide à la gestion l’irrigation à été faite par la Chambre d’agriculture : un disque d'irrigation sur support papier et un outil de calcul en ligne qui permettront aux agriculteurs d’adapter au mieux leur arrosage.
     
  • Les démarches autour de la question de la fertilisation ont pu être évoquées avec les projets en cours menés autour des Mafor locales et le projet Ferti-sol visant à acquérir des références sur les effets agronomiques de la fertilisation des cannes à sucre à partir de fertilisants organiques locaux. 
     
  • Enfin, un focus sur le réseau ACTA mais aussi sur les rencontres AgroEcoDom, et les outils et projets qui en découlent, a clôturé la matinée.
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04/12/2017   La vie du pôle
4ème forum Horizon 2020 - 4 décembre - Paris

Plus de 400 participants dont Qualitropic ont participé au 4ème forum Horizon 2020 le 4 décembre à Paris.
 

Conférences et tables rondes se sont succédées pour présenter les enjeux  du post 2020  et les recommandations proposées dans le cadre des nouvelles missions du 9ème PCRI.

 

En savoir plus: http://www.horizon2020.gouv.fr/cid124528/videos-du-quatrieme-forum-horizon-2020.html

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Vie du réseau

18/12/2017   Vie du réseau
Réseau EPNOE - European Polysaccharide Network of Excellence

EPNOE (European Polysaccharide Network of Excellence), réseau européen d'excellence sur les polysaccharides, a été créé en 2005. Ce réseau a pour objectif de développer la recherche, l’enseignement et les collaborations scientifiques dans tous les domaines où les polysaccharides sont présents (biomatériaux, santé, alimentation, agriculture,..). L’association est actuellement composée de plus de 40 membres académiques (institutions universitaires et de recherche) et d'entreprises internationales impliquant plusieurs centaines de chercheurs et elle sera ouverte aux membres individuels à partir de janvier 2018.

 

Les activités principales d’EPNOE sont la mise en réseau de compétences en recherche fondamentale et appliquée, les relations académie-université, l’accès à des infrastructures de R&D, la préparation de projets de recherche, la mobilité d’étudiants, et l’organisation d’écoles et de conférences.

 

EPNOE est  le réseau de référence sur la recherche dans le domaine des polysaccharides en Europe, collaborant avec ses homologues d’Amérique du Nord et du Sud et d’Asie.

 

Nous vous invitons à découvrir plus amplement l’association EPNOE et à vous inscrire pour recevoir sa Newsletter sur le site internet: www.epnoe.eu

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15/12/2017   Vie du réseau
Concours Innovation Outremer : 3 entreprises réunionnaises à l'honneur

Véritable tremplin pour les entrepreneurs ultramarins, le concours Innovation Outremer a récompensé 3 entreprises réunionnaises :

 

- Sogexis (catégorie "E-commerce") sur la gestion du système d'information

- Torskal (catégorie "Stratégie") sur la nano-médecine et les biotechnologies

- Crowdaa (catégorie "Projet start") qui est une plateforme de création d'applications mobiles destinées à la distribution et la vente de contenus musicaux directement par leurs créateurs sans passer par les plateformes de distribution existantes

 

Lire l'article : Trois start-up réunionnaises brillent au concours Innovation Outremer - Zinfos974 - 15/12/2017

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11/12/2017   Vie du réseau
Défis ESIROI : Les étudiants planchent sur la filière cacao de demain

Lancée à la rentrée 2017, la deuxième édition des Défis ESIROI bat son plein. 

 

Ce challenge interne, permet aux élèves ingénieurs de mettre en application, autour d’une problèmatique concrète, tout le savoir faire et la créativité qu’ils acquièrent au long de leur formation. 

 

Les étudiants de 4ème année qui ont pour mission de concevoir un outil de séchage de fèves de cacao en utilisant une énergie renouvelable ont proposé Lundi 11 Décembre une présentation à mi-parcours de leurs travaux. 

 

Les 3 équipes d’étudiants spécialisés en Agroalimentaire et Bâtiments/Energies ont toutes pu mettre en avant les actions déployées ces derniers mois avec pour objectif d’apporter des réponses adaptées et innovantes pour la future filière cacao réunionnaise portée par l’association Cacao Péi. Leur travail aboutira en Avril 2018, lors de la finale des Défis, à une présentation des prototypes qu’ils auront imaginés. 

 

Le prototype qui répondra le mieux aux enjeux posés par l’association Cacao Péi et aux critères d’innovation du challenge, se verra décerner le prix des Défis ESIROI. 

 

Qualitropic, membre du comité de pilotage des Défis, tient à féliciter les étudiants pour la qualité des travaux déjà accomplis et les encourage à approfondir leurs idées, toutes trois fort intéressantes et créatives. 
 

La presse était également présente à cette occasion, lire l'article : 

https://www.clicanoo.re/Societe/Article/2017/12/13/Les-futurs-ingenieurs-reunionnais-misent-sur-le-cacao_505587

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28/11/2017   Vie du réseau
Nexa organise des ateliers de co-design des outils d'accompagnement

Priorité de la Région Réunion mise en avant dans le cadre du Schéma Régional de Développement Economique, d’Innovation et d’Internationalisation (SRDEII), la démarche de "simplification et d’adaptation des outils d’accompagnement aux besoins concrets des porteurs de projet et aux entreprises » est notamment alimentée par les acteurs du territoire. Nexa contribue à la démarche en 2017 en conduisant une action de design de service. L’objectif de cette dernière étant de co-construire avec les usagers les services et les parcours les plus à même de répondre à leurs attentes.

 

Dans ce cadre, sur 3 journées - les 28, 29 et 30 Novembre dernier - les structures d’accompagnements ont été réunies avec des porteurs de projets (qu’ils soient d’un profil entreprise, porteur seul ou start up) au cours d’ateliers de co-design animés par le cabinet Aktan et des designers. L’objectif : travailler sur les profils et besoins des utilisateurs pour déterminer comment inscrire au mieux les services d’accompagnement dans leur quotidien. 

 

Des prototypes issus des réflexions menées dans le cadre de ces ateliers verront prochainement le jour pour être testés. 

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Les projets

Le projet VALOBIO remporte le prix de l'innovation !

2017 marquait le vingtième anniversaire du Challenge des créateurs, organisé par le département de la Réunion. 

Lancée en Juillet dernier, cet événement valorise l’insertion par la création d’entreprise au travers de 7 catégories de sélection (Innovation, Start Up, Insertion, Produit péi, Performances, Création d’emploi et Prix du jury). 

Après une phase d’inscription, ce sont plus de 130 candidats qui ont du défendre le 10 Octobre à tour de rôle en 8 minutes et devant le jury du speed-casting leur projet de création d’entreprise.

14 projets ont ainsi été retenus pour la phase finale du challenge. 

Et c’est le 17 Novembre, dans l'Hémicycle du Département, que les gagnants de chacune des 7 catégories du concours ont reçu leur prix.

Mr Henri-Philippe TESSIER, porteur du projet VALOBIO – que Qualitropic soutient activement dans son projet de valorisation des déchets de pêche – a ainsi rejoint les lauréats de cette 20ème édition en remportant lors de la finale le prix de la catégorie Innovation. 

Nous félicitons Mr TESSIER et les 6 finalistes des autres catégories pour ces belles victoires et ces beaux projets!


 

(Les duels et les résultats de la finale ont été diffusés entre la fin Novembre et le début Décembre sur Réunion 1ere et Télé Kréol)

 

Retrouvez les finalistes du prix de l’innovation sur : https://youtu.be/8VngkKtgl5A


 

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Projet EXTRAMID : Soutenance de thèse de doctorat agroalimentaire

Le 8 Décembre dernier, Marie HUTTE, doctorante en agroalimentaire a pu soutenir sa thèse sur le sujet du " Développement des produits à haute valeur nutritionnelle à partir de la production du Canna à la Réunion".

 

Soutenue par son directeur de thèse et devant un jury de professeurs et de chercheurs de Paris, de Montpellier et de la Réunion, Marie HUTTE a présenté le travail réalisé depuis 2014 avec la SAS DABRITA en parallèle du projet EXTRAMID labellisé par le pôle en 2015. Lors de cette soutenance publique, les connaissances scientifiques acquises sur le rhizome de Canna ont pu être mises en avant. Outre son caractère innovant dans le domaine des procédés d’extraction d’amidon à forte valeur ajoutée, la particularité de ce travail de thèse réside dans le fait qu’il s’inscrit dans le cadre plus vaste d’étude et de mise en place de la filière Canna et de sa valorisation agronomique, technologique et nutritionnelle.

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Projets labellisés 2017

Projets R&D Entreprises :

 

GERMENDEMIK 2 : le projet GERMENDEMIK 2, porté par le Groupe Fages en partenariat avec l’Unité Mixte de Recherche Peuplements Végétaux et Bio-agresseurs en Milieu Tropical (UMR PVBMT), a été labellisé par le pôle cette année au mois de mars. Ce projet fait suite au projet GERMENDEMIK 1, labellisé par Qualitropic en 2011. L’objectif de cette deuxième phase est de compléter les données écologiques et physiologiques sur plusieurs plantes endémiques et indigènes de La Réunion afin de les intégrer aux projets locaux d’aménagement urbain et de revégétalisation de zones dégradées. 

 

LIDORBIEN : Le projet LIDORBIEN, porté par la société 2M2N, spécialisée dans la collecte et le tri de déchets industriels banals, a été labellisé le 19/12/2017 par le pôle de compétitivité. Ce projet, porte sur la valorisation du broyat de plâtre en litière animale. L’ajout de ce nouveau produit à ajouter aux litières végétales sous forme de complément, devrait permettre d’améliorer la capacité d’absorption de la litière et de produire un fumier plus concentré en éléments fertilisants et plus sec.

 

PAC : Le projet PAC - Nouvelles ressources pour des composés polyphénoliques prénylés - porté par Plant Advanced Technologies, en partenariat avec l’Université de Lorraine, ambitionne de découvrir de nouvelles ressources végétales de La Réunion capables de synthétiser des composés prénylés et d’identifier les potentiels candidats médicaments afin de les valoriser. Il a été labellisé en avril 2017.

 

ELOLEO : le projet ELOLEO, porté par la jeune société All Over App, vise à digitaliser les circuits courts pour des produits du terroir issus de l’agriculture, du tourisme et de l’artisanat. Labellisé par le Qualitropic le 19 Décembre dernier, le projet, en maturation depuis Juin 2017, s’est illustré lors de la finale du concours #Digitag Challenge en remportant le prix spécial du jury . Un partenariat avec le GAL Grand Sud va permettre à ELOLEO de se déployer dans le sud de l’île puis sur la totalité du territoire en 2018 pour une phase de tests. Réel outil de proximité et solution d’usage innovante, le  projet propose grâce à la géolocalisation en temps réelle, son module de e-commerce et ses possibilités de personnalisation, de rapprocher les producteurs et consommateurs.

 

Projet R&D Centres techniques :

 

SolAgriDom : Le projet SolAgriDom, porté par le Cirad en partenariat avec l’Acta, en réponse à l’appel à projets Casdar Innovation et partenariat 2018, s’intègre dans le projet Agroécologie pour la France. L’objectif de ce projet est de promouvoir par le partenariat et la formation une gestion durable des sols agricoles dans les Départements d'Outre-Mer (DOM). L’ensemble des DOM français sont donc réunis dans ce projet qui devrait permettre d’une part d’améliorer les connaissances scientifiques en termes de gestion de la fertilité des sols dans ces milieux tropicaux, et d’autre part de mettre en place des stratégies spécifiques à chaque DOM pour la gestion de leurs sols.

 

ORCADEPRED : Le projet ORCADEPRED, porté par le CNRS - Centre d'études biologiques de Chizé, en partenariat avec l’Université de Bretagne occidentale, IFREMER, IRD, INRA d’Avignon, Hydrô Réunion, ENSTA de Bretagne, Museum National d'Histoire Naturelle, SARPC, Armements ENEZ, CAP RUN, a été labellisé en avril 2017. Il a pour but d’évaluer à court et long termes l'impact de la déprédation sur la pêche et les écosystèmes et de réduire voire supprimer la déprédation par la mise en œuvre de mesures opérationnelles de pêche.

 

REMPOR : Le projet REMPOR –  Recherche étiologique des maladies associées aux mortalités massives des poissons de la côte Ouest de La Réunion, est porté par l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) / UMR ENTROPIE (Ecologie mariNe TROpicale des océans Pacifique et IndiEn). Il bénéficie de l’expertise de partenaires tels que la Réserve Naturelle Marine de la Réunion (RMNR), l’UMR PIMIT (Processus Infectieux en Milieux Insulaire Tropical), l’Université de Derby (Angleterre) et Hydrô Réunion. Il a pour objectif d’appréhender les causes et les conséquences d’épisodes de mortalité massive de poissons à La Réunion afin d’en prévenir l’apparition. Le projet a été labellisé en décembre 2017.

 

Le projet « Signatures spectrales de sols pour l’optimisation de la fertilisation dans les systèmes canniers de La Réunion » a été labellisé en décembre 2017. Porté par le CIRAD La Réunion/Mayotte et eRcane, en collaboration avec les INRA Bordeaux/Rennes/Antilles-Guyane et l’IRD Guyane, il a pour objectif d’optimiser l’outil d’expertise agronomique, Système Expert Réunionnais D’Aide à la Fertilisation ou SERDAF, afin d’améliorer la préconisation en fertilisation des sols cultivés en canne à sucre à La Réunion. 

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Ils ont rejoint Qualitropic

Nouveaux adhérents

 

Souhaitons la bienvenue à nos nouveaux adhérents :

 

NOMBRE D'OR MANUFACTURE EURL /Bijouterie, joaillerie

 

AKUO ENERGY INDIAN OCEAN SAS / Environnement, Développement durable

 

LES CONFISERIES D'EMILIE / Agroalimentaire

 

PALAIS DE LA VIANDE / Agroalimentaire, agriculture

 

SYMBIOTIC SAS / Biotechnologies

 

VALAVIE SARL / Production d'engrais

 

SEM MARCHE DE GROS / Agriculture

 

BOURBON COMPOSITES / Chimie, phytosanitaire, emballages

 

SAVONNERIE DE BOURBON SARL / Fabrication de savons

 

SOCIETE INDUSTRIELLE DU NORD / Agroalimentaire




Agenda

Appel à projets

jusqu'au 15/01/2018
Appel à Projets de recherche et développement structurants pour la compétitivité (PSPC)

Ce programme propose de soutenir de projets collaboratifs de recherche et développement structurants visant notamment des retombées économiques et technologiques directes sous forme de nouveaux produits, services et technologies, et des retombées indirectes en termes de structuration durable de filières. Les retombées économiques attendues des projets et de ces structurations de filières doivent concerner tous les partenaires industriels et en particulier les petites et moyennes entreprises (PME). 
Leur réalisation peut comporter des phases de recherche industrielle ainsi que des phases plus aval de développement expérimental, préalables à la mise sur le marché.

 

Les projets de recherche et développement structurants attendus présentent un montant de programme compris entre 5 et 50 millions d’euros.

 

Le financement apporté par l’Etat aux projets prend des formes mixtes de subventions et d’avances remboursables en fonction des risques liés aux projets.

 

Date de clôture : 15 janvier 2018

 

Plus d'informations : http://www.bpifrance.fr/A-la-une/Appels-a-projet-concours/Projets-de-recherche-et-developpement-structurants-pour-la-competitivite-PSPC-22882

 

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jusqu'au 15/01/2018
Appel à projet Graine

L’ADEME lance la deuxième édition de GRAINE visant à soutenir des projets de recherche pour un développement durable des filières de la bioéconomie. 

 

Cet appel à projets concerne l’élevage, les cultures, la forêt, les sols, les produits biosourcés, la méthanisation, les valorisations énergétiques de la biomasse…

 

Les thématiques sont structurées autour de trois grands axes :

·         Eco-efficience des systèmes de production, transformation et valorisation des biomasses

·         Evaluation environnementale et articulation des productions et usages de la biomasse

·         Accompagnement au changement et instruments de politique publique pour une bioéconomie durable

 

Cet appel à projets concerne les acteurs publics et privés de recherche et aux entreprises intervenant dans la bioéconomie, dans sur l’évaluation environnementale ainsi qu’aux acteurs des sciences économiques, sociales et humaines.

 

Il est attendu des projets partenariaux et si possible plurisciplinaires.

 

Les projets éligibles concernent plusieurs types de recherche :

· De la recherche en connaissances nouvelles.

· De la recherche organisationnelle.

· De la recherche méthodologique et prénormative.

· De la recherche technologique

 

Date de clôture : 15/01/2018 

 

Plus d'informations : https://appelsaprojets.ademe.fr/aap/GRAINE2017-84-1#resultats

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jusqu'au 29/01/2018
Fonds d'intervention pour les services, l'artisanat et le commerce (FISAC) 2017

Le Fonds d’intervention pour la sauvegarde de l’artisanat et du commerce (FISAC) a pour vocation de répondre aux menaces pesant sur l’existence des services artisanaux et commerciaux de proximité dans des zones rurales ou urbaines fragilisées par les évolutions économiques et sociales.

 

L'action du FISAC se traduit par le versement de subventions aux collectivités locales et aux entreprises ( en faveur d’entreprises économiquement viables et à condition de ne pas induire de distorsion de concurrence). Le FISAC finance des actions de fonctionnement (animation, communication et promotion commerciale, recrutement d’animateurs de centre-ville, diagnostics…) ou d’investissement (halles et marchés, centres commerciaux de proximité, signalétique commerciale, aides directes aux entreprises...).

 

Cet appel à projets vise ainsi à :

 

  • promouvoir une offre de proximité qui réponde à l’évolution des attentes des consommateurs, en utilisant par exemple des outils du numérique ;
     
  • promouvoir une offre de proximité qui s’inscrive dans une stratégie commune et des partenariats avec les acteurs concernés par la vie de la cité ;
     
  • préserver le savoir-faire des TPE des secteurs du commerce, de l’artisanat et des services et  donner à celles-ci les moyens de se moderniser et de se développer, via notamment des technologies numériques ;
     
  • favoriser la redynamisation des territoires, ruraux et urbains particulièrement marqués par la dévitalisation commerciale

 

Au sein de la dotation pour les opérations collectives, une enveloppe d’un million d’euros est spécifiquement dédiée à des expérimentations, des projets innovants visant à intégrer l’aménagement commercial dans une stratégie plus large de développement urbain, à porter des partenariats renforcés entre acteurs publics et privés, et à développer le management de centre-ville pour revitaliser les centres-villes ayant un taux élevé de vacance commerciale .

 

Date de clôture : 29/01/2018

 

Plus d'informations : https://www.entreprises.gouv.fr/secteurs-professionnels/fonds-d-intervention-pour-services-artisanat-et-commerce-fisac-2017

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jusqu'au 31/01/2018
ENERGIEBIO 2017

L’appel à projets porte sur des installations de production de chaleur à partir de biomasse en substitution à des énergies fossiles. Ces installations devront se situer sur le territoire national (DROM-COM inclus).

 

Les établissements concernés par le présent appel sont des entreprises du secteur industriel, agricole, et tertiaire privé. Les installations fournissant de la chaleur aux bâtiments tertiaires privés (bureaux, commerces, grandes surfaces de distribution, logistique, aéroports, …) sont éligibles. L’installation pourra alimenter des bâtiments du secteur collectif en complément de la valorisation industrielle, agricole ou tertiaire privée à condition que la valorisation industrielle, agricole ou tertiaire privée seule représente plus de 100 tep/an sortie chaudière à partir de biomasse.

 

Les candidats doivent déposer leur projet en ligne sur la plateforme ADEME-Appels à projets consultable via le site internet de l’ADEME www.ademe.fr rubrique « Publicité des marchés / appels à projets » en précisant la taille de l’installation selon les deux modalités suivantes :

 

  • Pour les projets de 100 tep/an (1 163 MWh/an) à 1 000 tep/an (11 630 MWh/an) :

Les projets de 100 à 1 000 tep/an seront instruits directement par votre Direction Régionale au fur et à mesure des dépôts sur le site. Le calendrier et les modalités d’instruction pourront varier selon les régions et seront précisés lors de la prise de contact auprès de la Direction Régionale de l’ADEME en amont du dépôt du dossier.

 

  • Pour les projets supérieurs à 1 000 tep/an (11 630 MWh/an) :

Les projets supérieurs à 1 000 tep/an seront instruits pour être présentés en Commission Nationale des Aides et – selon le montant de l’aide – au Conseil d’Administration de l’ADEME qui sélectionneront les lauréats. Les projets doivent être déposés sur la plateforme au plus tard le 31 janvier 2018 avant 12h.

 

Date de clôture : 31/01/2018

 

Plus d'informations : https://appelsaprojets.ademe.fr/aap/ENERGIEBIO2017-76

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